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European Society for Promotion and Action in Culture, Education and Science
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Wonder 2008
constitue la phase finale de la saga Wonder. L'histoire à la fois fantastique et navrante d'un court métrage
en plan-séquence de 10 minutes dont il est dit ... tout ... et l'inverse.
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Le passé
Tout commence à l'IDHEC le 16 mai 1968.
L'histoire de Wonder commence le 23(?) mai 1968.

Le futur
Le futur de Wonder débute le 10 juin 2025.
Le passé
Tout commence à l'IDHEC le 16 mai 1968.
Du 3 au 13 mai, l'agitation étudiante est le fruit d'une frustration générationnelle d'ordre sociologique. Les jeunes hommes et des jeunes femmes ne supportent plus l'autorité parentale, les interdits religieux liés à la sexualité et le "monothéismes éducatif". A Paris, tout se passe entre Nanterre et la Sorbonne. A l'IDHEC, nombre d'étudiants issus de milieux plus égaux que d'autres, plus libres aussi (disons le mot "bourgeois") écoutent les événements à la radio et les regardent le soir rentrés chez leurs parents.
Puis vient la nuit des barricades le 10 mai dans le quartier latin à Paris. Elle est violente et brutalement repressée.
En réaction, la CGT lance un appel à la grève générale. Tous les syndicats suivent et le "Mai 68" populaire commence vraiment le 13 mai.
A partir de cette date, les étudiants de l'IDHEC sont à l'écoute des États généraux du cinéma, cette assemblée générale de professionnels du cinéma qui exige l'arrêt du Festival de Cannes.
Dès le 16 mai, le comité de grève de l'IDHEC décide son occupation. Puis, sous le nom d'Association Générale
de l'Institut des Hautes Études Cinématographiques (AGIDHEC) des statuts sont déposés à la Préfecture. Le président en est Daniel EDINGER et le vice président
Richard COPANS. Michel CENET et Dominique CHAPUIS sont membres du bureau.
Source : page 1 du MEMOIRE ANONYME intitulé "Le film Wonder". Jacques Willemont ne sait pas formellement qui l'a écrit et quand il l'a été. Il n'en a eu connaissance que 50 ans plus tard, au cours de l'été 2013.
L'histoire de Wonder commence le 23(?) mai 1968.
Du 3 au 13 mai, l'agitation étudiante est le fruit d'une frustration générationnelle d'ordre sociologique. Les jeunes hommes et des jeunes femmes ne supportent plus l'autorité parentale, les interdits religieux liés à la sexualité et le "monothéismes éducatif". A Paris, tout se passe entre Nanterre et la Sorbonne.
Puis vient la nuit des barricades le 10 mai dans le quartier latin à Paris. Elle est violente et brutalement "répressée".
En réaction, la CGT lance un appel à la grève générale. Tous les syndicats suivent et "Mai 68" populaire commence vraiment le 13 mai.
A partir de cette date, les étudiants de l'IDHEC sont à l'écoute des États généraux du cinéma, cette assemblée générale de professionnels du cinéma qui exige l'arrêt du Festival de Cannes.
Dès le 16 mai, le comité de grève de l'IDHEC décide son occupation. Puis, sous le nom d'Association Générale
de l'Institut des Hautes Études Cinématographiques (AGIDHEC) des statuts sont déposés à la Préfecture. Le président en est Daniel EDINGER et le vice président
Richard COPANS. Michel CENET et Dominique CHAPUIS sont membres du bureau.
Source : toujours page 1 du MEMOIRE ANONYME.
A ce propos, dans une conférence à la FEMIS le 15 juin 2018, Copans reconnait que les statuts n'ont jamais été déposés.
Quand j'aurais un peu de temps, je placerai un lien.

<-- Qui est cet "Anonyme" ?
Jouons à l'historien. Cela tombe bien : Jacques Willemont est un archiviste qui s'ignorait. Il a tout gardé depuis plus de 70 ans. Ce doit être un sentimental.

L' "anonyme" est - probablement -Daniel Edinger.
Nous n’en aurons sans doute jamais la preuve formelle. Mais la récurrence de nombreux éléments issus de la lettre adressée à Jean-Pierre Mast (Scam) dans le texte anonyme nous autorise à évoquer une suspicion légitime.
Nous nous arrêtons ici. Non par prudence, mais parce que nous ne souhaitons pas vous infliger les méandres d’une "mission" aussi incompréhensible qu’innommable, celle que Daniel Edinger s’est obstinément assignée pendant quarante-cinq ans, de juin 1968 à juillet 2013, et peut-être au-delà.
Son objectif : faire en sorte que Wonder ne doive rien à Jacques Willemont.
Il est essentiel que vous ayez connaissance de cette situation pour appréhender d’autres épisodes, tout aussi surréalistes.
Le futur
Le futur de Wonder débute le 10 juin 2025.
Lorsque Espaces décide de :
- restaurer le film
- le sous-titrer dans 36 langues dont les 24 langues européennes
- le diffuser dans 1.000 lieux de cinéma (voire plus) à travers le monde
- le compléter avec un site documentaire sur internet
- lancer le festival de film "Après… ?"
Le futur de Wonder rebondit le 01 septembre.
Pierre Bonneau, Liane Estiez-Willemont et Jacques Willemont - ses trois seuls auteurs authentiques(1) - cèdent leurs droits à la société 7 production, SAS créée en 2024 en souvenir de la "7 production" historique (1972-1979) dirigée par Liane Willemont.
Cette nouvelle structure est dirigée par Jacques Willemont.
Le futur prend forme le 02 octobre.
Lorsque le dossier de demande de subvention au CNC pour la restauration du film est accepté.
Le lendemain, optimiste, Jacques Willemont prend rendez-vous avec "L'image retrouvée" pour l'étalonnage du film.
Puis avec une société de communication toulousaine pour la réalisation du site internet.
Les 36 langues commencent par le français.
Pour la bonne raison que nous offrons le film à 1.064 lieux de langue française : tous les Institut français dans le monde et l'Alliance française dont l'une des missions consiste à enseigner la langue française. Celle de Chateaubriand, Flaubert, Madame de Sévigné, Montaigne, Racine, Voltaire pour les classiques ; Camus, Ernaux, d'Ormesson, Yourcenar pour les modernes ; Jocelyne pour la langue populaire.
Prochaines étapes
(1) Pourquoi préciser "ses trois seuls auteurs authentiques" ?
Parce que, par exemple, le 6 octobre 1970, Jean-Denis Bonan cède les droits du film Wonder à MK2 production à la demande de Daniel Edinger.
En 1974, un jeune cinéaste présentera Wonder à Liane Willemont devenue productrice, pour qu'elle lui prête la Coutant et le Nagra dont elle dispose, afin qu'il puisse réaliser un film en Indes (à l'époque Wonder n'avait pas encore de générique).
Le 11 juin, le lendemain du tournage, ça dérape.
Daniel Edinger, dès le 11 juin, le lendemain du tournage, va commencer à s'approprier le film.
Première étape, faire croire que Wonder est le seul film tourné par l'équipe composée de Pierre Bonneau, Roland Chicheportiche, futur Portiche, Liane Estiez futur Willemont, et Jacques Willemont lui-même. Objectivement, c'est vrai. Ce 10 juin, cette équipe n'a tourné que Wonder. Liane Estiez a tenu très professionnellement le rôle d'ingénieur du son pendant toute la durée du tournage. du premier jour du tournage. Mais les deux autres n'ont été présents sur aucun autre tournage de Le cafard des montagnes (nom de code du film), futur Sauve qui peut Trotski.
Combien a-t-il eu de tournages.
Le tournage, selon Willemont, a commencé à partir du 22 mai, peut-être le 23 mai, au plus tard le 24.
Pour sa part, l'Anonyme (mettons-lui une majuscule) affirme que Willemont n'a pu tourner qu'après que l'assemblée générale de l'AGHIDEC ait approuvé début juin, son projet de "dresser une sorte de catalogue des différentes composantes du Mouvement, etc."
Voir le début de la page 2 du MEMOIRE ANONYME.
Si oui, monsieur l'Anonyme, quid de la séquence du stade Charlety du 27 mai que Willemont évoquait parfois entre 1968 et 2005 sans convaincre les septiques, puisqu'il ne pouvait pas la monter. Mais, après que Sébastien Layerle ait trouvé les originaux de Le cafard des montagnes aux Archives royales de Belgique. il a été possible de comptabiliser la douzaine de séquences et surtout, de visionner la séquence Charlety. Tournée le 27 mai - nous insistons.
Après cette preuve irréfutable, pour les gens honnêtes et sains d'esprit (donc par pour les idéologues) Willemont espérait qu'il allait en être fini des sceptiques.
Eh bien non. Non parce que le scepticisme procède des mêmes démarches que la religion. Willemont conclut avec six mots : parce que le monde est con.
Il parle du "monde" pas de ce monsieur Vigier qui écrit en aout 2013 :
" ... car en documentaire on ne peut parler de "réalisation" que s' il y a un point de vue et su montage. Ce qui n'est pas le cas ici. Après cela, libre à chacun d'inventer des projets jamais réalisés, dont personne n'a entendu parler !"
Qui est ce monsieur Vigier ? Il a adhéré, semble-t-il, au syndicat CGT des réalisateurs TV, dont Daniel Edinger est le secrétaire général. Ah, ben oui !
Il pourrait être le fils d'Albert Viguier, chef opérateur du film Le jour se lève de Marcel Carné. Un grand technicien du cinéma peut engendrer un fils "petit". Tout petit.
Je m'empresserai de corriger ce chapitre si l'information est erronée.
Charlety 27 mai 1968
(2) Désolé pour la mauvaise qualité des cadrages et des mouvements de caméra, mais celle-ci était tenue par un étudiant de première année de l'IDHEC à qui Willemont donnait un cours de cinéma direct à la demande de Richard Copans ... qui a oublié. Pardon, qui tient à tout prix (le mot "prix" est approprié) à avoir oublié.
Réponse à monsieur Viguier, sur le "point de vue"
Et derrière lui, à feu Daniel Edinger, à Richard Copans, au trois membres de la commission de conciliation de la Scam en ... Willemont ne sait plus en quelle année.
A tous ceux à qui j'ai communiqué l'information intitulée : xxx
Le futur s'accélère le 3 octobre 2025 ...
Laurent Herbier réalisateur et ami de longue date des Willemont, décroche le téléphone pour leur dire :
"- Je visionne Wonder, la transcription des dialogues sous les yeux".
De manière à ce que le 10 juin 2026 ...
Pour le 58ème anniversaire du tournage de Wonder, le film sous-titré en français sera offert gracieusement aux 98 Instituts français, 386 Alliances françaises et 128 antennes complémentaires dans le monde.
... puis pour le 10 juin 2027 ...
Pour le 60ème anniversaire du tournage de Wonder, le film sous-titré en 36 langues sera offert gracieusement à des centaines de "lieux de cinéma" : cinémathèques, centres d'archives, écoles de cinéma, ... à travers le monde.
... enfin pour le 10 juin 2028 ...
Le festival "Après" récompense les auteurs de films qui répondent à la question : que s'est-il passé dans la vie de Jocelyne, l’ouvrière de "Wonder", devenue icône féministe après sa prise de parole radicale et exemplaire, lorsque la bobine de 120 mètres de pellicule a cessé de défiler derrière l’obturateur de la caméra.
Le passé est "criminalisé" par un "autodafé".
Cet autodafé à "la nazi", à la "stalinienne" vise Sauve qui peut Trotski dont les éléments de montage 16 mm disparaissent. Volés, c'est certain. Détruits ? On ne sait pas. L'accès aux originaux image aurait permis de reprendre le montage : il est rendu impossible. Par qui ? Par X.
Le "passé professionnel" de Willemont ...
... s'arrête brusquement le 15 juillet 1968 lorsqu'il découvre que son premier film, un long-métrage documentaire de type ethnographique - bien qu'à l'époque, autre monsieur Jourdain, il ne connaissait pas le mot - a été censuré, puis empêché puis, finalement "détruit", "brûlé", "autodafé".
Pire que tout : ...
Le passé de Wonder n'est toujours pas terminé.
Trois membres de la CGT supposons nous, puisque choisis par Daniel Edinger.
Les noms des trois conciliateurs ? Willemont ne se souvient que de xxx. Que faisait-il dans cette galère ?
Willemont remarque : dès qu'un humain a une carte de parti à son nom, un croix attachée à une chaine autour du cou, un slogan à la bouche, ils se croit super-humain. Il pense avoir raison plus que les autres. Prêt à tuer tous ceux qui pensent différemment, qui voient le monde sous un autre angle.
Ce jour-là Richard Copans, responsable avec Daniel Edinger de l'occupation de l'DHEC, demande à Willemont de former les étudiants de première année, au cinéma direct
La septième séquence du film, celle de l'usine Wonder, est tournée le 10 juin.
Le présent
Pour le 60ème anniversaire du tournage de "Wonder" le 10 juin 1968,
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Pour atteindre ces objectifs (hors festival) quels moyens faut-il réunir ?

10 juin 2026
Budget
Financement
Numérisation et restauration (Image retrouvée)
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Sous-titre FR (1er janvier 2026)
Site documentaire
Documentation vidéo : plusieurs entretiens
Sous-titres DE - EN - IT - SP (10 juin 2026)
Edition des sous-titres (Image retrouvée)
Site de téléchargement des 36 versions (10 juin 2026)
xxx
5 500 €
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1 100 €
2.800 €
2.500 €
3.200 €
0.000 €
4.500 €
0.000 €
Institutions
7 production
Espaces
Financement recherché : financement participatif n°1
Financement recherché : financement participatif n°1
Financement recherché : financement participatif n°1
Financement recherché : financement participatif n°1
Financement recherché : financement participatif n°2
xxx
4 500 €
1.000 €
1.100 €
2.800 €
2.500 €
3.200 €
0.000 €
4.500 €
0.000 €
10 juin 2027
Budget
Financement
Sous-titres 19 langues U.E. (10 juin 2027)
Edition des sous-titres (Image retrouvée)
Sous-titres AR - BN - HIN - IND - JA - RU - ZH - ... (10 juin 2027)
Edition des sous-titres (Image retrouvée)
xxx
15.200 €
0.000 €
8.000 €
0.000 €
0.000 €
Financement recherché : financement participatif n°2
Financement recherché : financement participatif n°2
Financement recherché : financement participatif n°2
Financement recherché : financement participatif n°2
Financement recherché : financement participatif n°2
15.200 €
0.000 €
8.000 €
0.000 €
0.000 €
Partenaires sollicités
Institutionnels
Privés
Demandé respectueusement
CNC
Institut français
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5 500 €
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xxx €
Demandé avec insistance
Kuiv (Génération)
Les films d'Ici (Reprise)
Les films d'ici (Paroles ouvrières, ...)
Les films d'ici (droits d'auteur de Liane Willemont)
Espéré
MK2 (en 1972, il a cédé les droits de Wonder à Jacques Willemont
JEM production (à l'origine du film Wonder)
Financement participatif n°1
Financement participatif n°2
Promis
7 production
Espaces
ISKRA
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2.000 €
1.000 €
xxx €
xxx €
Qui ?
Lui, Jacques Willemont




18 juin 1940
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1968
2025
(photo commandée à mon petit-fils)
203...
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xs.
On ne peut pas citer
Wonder, sans évoquer la tragi-comédie en 12 actes qui s'est déboulée dans le cadre de l'IDHEC, l'institut des hautes études cinématographiques, et ses périphéries.
xs.
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Wonder 2028
est le projet démarré le 10 juin 2025 par Jacques Willemont,
réalisateur le 10 juin 1968 du film
Wonder,
connu également sous le titre
La reprise du travail aux usines Wonder.
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Histoire de Wonder
Les prémisses
Côté théorie, en deux ans (1966-1968), je n'ai bénéficié que de deux leçons de cinéma.
Côté expérimentation, ce fut formidable. Dommage que cela n'ait servi à rien.
Visionnant au moins un film par jour, il était inévitable qu'une salle de cinéma tienne un rôle de premier plan dans ma vie personnelle.
L'IDHEC en 1968 - année pâle.
10 mai 68. J'apprends à voir et à entendre.
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Merci Richard Copans
Le 22 mai. Date incertaine. Mais souvenir indéniable.
Richard Copans veut laisser son nom au générique de l'histoire de l'évolution de la pédagogie de l'IDHEC, future FEMIS.
Il me demande d'apporter ma contribution.
J'en suis ravi.
24 mai. Début du tournage de Le cafard des montagnes. Date incertaine. Mais des images toujours inédites. Le nom de code ? Paranoïa de l'OCI, organisation communiste internationaliste. Je suis un témoin de mon temps. Un homme libre. Je vais de surprise en surprise. Je suis par exemple étonné que personne ne connaisse Soljenitsyne.
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imprimerie p
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